978-2-84225-250-2
Par Jordan Ellenberg. Traduit de l'anglais par Françoise Bouillot.
544 pages, broché, 14 x 21,5 cm.
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L'art de ne pas dire n'importe quoi
Par Jordan Ellenberg. Traduit de l'anglais par Françoise Bouillot.
544 pages, broché, 14 x 21,5 cm.
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Intelligent, spirituel, captivant. Jordan Ellenberg nous promet des idées faciles à saisir et profondes dans leurs implications, et il tient largement ses engagements. Ceux qui aiment déjà les maths vont dévorer ce livre, et ceux qui ne savent pas à quel point elles peuvent être plaisantes vont avoir une agréable surprise.
Plus de 300 000 exemplaires vendus dans l’édition originale. Déjà traduit en espagnol, italien portugais, polonais, grec, hongrois, ukrainien, russe, tchèque, finnois, chinois, japonais, coréen. L’art de ne pas dire n’importe quoi figurait en 2016 dans les « Cinq livres à lire cet été » recommandés par Bill Gates.
« LES MATHS, C’EST LA VIE »
La France s’interroge sur les mathématiques. Convaincu de l’importance des mathématiques, le gouvernement a posé publiquement la question : comment les enseigner ? comment donner aux élèves envie d’en faire ?
Jordan Ellenberg donne une grande partie de la réponse : il faut dire la vérité sur les maths. À nombre d’entre nous, les maths apparaissent comme un ensemble de règles venues du fond des âges, concernant des objets sans vie, à appliquer sans discuter. Dans L’art de ne pas dire n’importe quoi, Jordan Ellenberg nous montre à quel point cette conception est fausse. Les maths concernent tout ce que nous faisons, elles nous donnent accès aux structures cachées dans la complexité et le chaos de la vie quotidienne.
Comment s’enrichir en jouant au loto ? Pourquoi est-ce que, quand les deux parents sont grands, leurs enfants ne sont en général pas aussi grands ? Comment les Alliés ont-ils décidé de l’emplacement du blindage sur les avions ?
L’art de ne pas dire n’importe quoi donne à ces questions, et à beaucoup d’autres, des réponses inattendues, sans employer le jargon mathématique, mais en se fondant sur les méthodes et l’intuition que les mathématiciens se sont forgés au cours des siècles.
Ellenberg guide le lecteur dans ce monde avec humour et un irrespect réjouissant. Tirant ses exemples de l’histoire aussi bien que des développements les plus récents des sciences, il nous montre que des idées mathématiques profondes sont à l’œuvre chaque fois que l’on raisonne, que le sujet soit futile ou d’importance cosmique.
Il nous entraîne dans un manège étourdissant à travers trois mille ans de mathématiques, où nous rencontrons les controverses sur la fiscalité, Voltaire, la Renaissance italienne, les langues artificielles, la géométrie non euclidienne, la psychologie des moisissures, les empilements de sphères à 24 dimensions, l’indiscrétion de Facebook, Pascal et l’existence de Dieu.
« Les maths, dit Ellenberg, sont la continuation du bon sens par d’autres moyens. » Elles sont comme un exosquelette à la Iron Man que vous attachez à votre bon sens, démultipliant sa portée et sa force. Les maths aident les penseurs de toute sorte à mieux penser, elles élargissent la portée de l’imagination, elles affinent le jugement, elles apprivoisent l’incertain, elles nous font voir la structure profonde et la logique de notre monde.